Bien qu’il possède des pouvoirs fantastiques, notre personnage n’en reste pas moins un marginal, un mercenaire travaillant pour quiconque souhaiterait s’offrir ses services. La vie à cette époque est chère et la misère attend quiconque ne souhaiterait pas s’associer aux grandes entreprises régnant dans ce lieu. Vivant dans un garage, celui-ci possède tout le confort nécessaire pour survivre sans pour autant rester coupé du monde.

S’attaquer aux corpos n’est certes pas sans risque, mais cela lui a tout de même permis d’accumuler du matériel lui permettant, en plus d’établir des plans, de faire l’acquisition de plans et autres informations sur ses futures cibles. L’endroit n’est pas confortable et l’humidité, en plus des vapeurs d’échappement et du froid, font partie intégrante des murs de béton à peine ouverts sur le monde extérieur. La lumière naturelle peine à filtrer à travers les fenêtres et seul un néon, durant la nuit seulement, parvient à colorer le garage.

On retrouve dans cette planque un bazar monstre, des documents, livres, canettes, enveloppes et cartons de pizza s’accumulent sans pour autant qu’ils soient rangés ou jetés. Des posters couvrent également les murs et un vieux tapis à moitié sous un vieux canapé de cuir marron trône au centre de la pièce, juste devant une table basse et un meuble de télévision en mauvais état. Quelques meubles sont trouvables par-ci par-là, mais l’on sent par leur usure et la poussière les recouvrant qu’ils ne sont pas souvent utilisés ou nettoyés.