Project powers, est une ébauche de jeu à la troisième personne faisant appel aux codes de l’infiltration et de l’héroïsme pour arriver au terme des niveaux le composant. Orienté autour du thème du cyberpunk, celui-ci se déroule dans une gigantesque ville aux airs futuristes et à l’atmosphère brumeuse, éclairée par des néons grésillant durant la nuit. Sur des tons grisonnants, à peine lumineux et dont la pluie, régulière à cause de la pollution, vient accompagner le personnage, celui-ci s’aventure dans des rues dangereuses jusqu’à son repère semblable à un garage mal entretenu. L’endroit n’est pas rassurant, c’est certain, mais notre protagoniste à l’attitude presque cynique et aux ambitions vengeresses ne s’en inquiète plus, car il possède depuis quelque temps déjà des pouvoirs défiant la nature.
Alors que la cybernétisation des corps et l’explosion de la technologie envahie chacune des rues de Sankaku (triangle en japonais - trois corporations l’ont bâtie), imposante ville installée sur le sol Nippon depuis l’explosion de sa démographie, un retour à l’organique, mais également au super semble lentement revenir dans le viseur des entreprises dirigeant à la baguette les lieux. Capable de faire appel à une super vitesse que seule la technologie de pointe permet d’arrêter, notre personnage, trahit, mais également meurtri, cherche sans relâche à se tirer de sa situation en ne s’attaquant qu’à ceux souhaitant détruire sa vie. Loin d’être dévoré par les remords, il n’a pour seule règle de ne pas tuer, bien qu’un coup, lorsqu’il s’élance à pleine vitesse, laisse rarement le corps de la victime en bon état.
(influences et inspirations venant de films, jeux et œuvres en tout genre)